Isabelle FILLON
[peinture acrylique 41 X 33 cm sur papier toilé]
Il y a des hauts, il y a des bas.
L’existence est
quelquefois légère et gaie, quelquefois lourde et
triste.
Ces oscillations sont comme les courbes de l’électroencéphalogramme : je suis des fois en haut et je génère de l’énergie, pleine d’entrain je suis forte de mon énergie ; d’autre fois je suis au creux de la courbe et j’ai besoin de l’énergie des autres pour retrouver la force d’avancer.
Je suis en pulsation de ma vie choisie et j’offre mon énergie en surintensité à ceux qui veulent bien la recevoir.
Je suis la courbe des montagnes de mon âme, les replis de mon cerveau vallonné créent les courbes de niveaux pour atteindre les cimes et voir au mieux les beaux paysages de la vie.
J’aime contempler les montagnes de l’âme de l’existence de notre planète et la montagne de l’âme des humains qui par leurs rencontres créent des flux d’énergie pour que chacun vive le plus souvent sur les crêtes de la vie positive. Mon âme resplendit de bonheur quand les autres sont heureux de partager nos flux d’énergie belle de vie authentique.
Ces oscillations sont comme les courbes de l’électroencéphalogramme : je suis des fois en haut et je génère de l’énergie, pleine d’entrain je suis forte de mon énergie ; d’autre fois je suis au creux de la courbe et j’ai besoin de l’énergie des autres pour retrouver la force d’avancer.
Je suis en pulsation de ma vie choisie et j’offre mon énergie en surintensité à ceux qui veulent bien la recevoir.
Je suis la courbe des montagnes de mon âme, les replis de mon cerveau vallonné créent les courbes de niveaux pour atteindre les cimes et voir au mieux les beaux paysages de la vie.
J’aime contempler les montagnes de l’âme de l’existence de notre planète et la montagne de l’âme des humains qui par leurs rencontres créent des flux d’énergie pour que chacun vive le plus souvent sur les crêtes de la vie positive. Mon âme resplendit de bonheur quand les autres sont heureux de partager nos flux d’énergie belle de vie authentique.
Isabelle Fillon, octobre 2007